Actualités et conseils

L’environnement est un thème largement abordé quasi quotidiennement dans les médias. L’implantation d’un chantier ne doit pas conduire à augmenter substantiellement des nuisances et des pollutions de toute nature déjà existantes.
Les directives précises du Maître d’Ouvrage permettent de définir les éléments clés d’une démarche constructive. L’Entreprise peut directement y participer.

En entendre parler, c’est déjà bien, mais c’est loin d’être suffisant. Quels en sont les éléments fondamentaux ? Va-t-elle encore évoluer ? Aujourd’hui, on ne peut pas concevoir et peut être encore moins construire sans un minimum de connaissance dans ce domaine.

Tout d’abord de quoi s’agit-il ?

Il s’agit, sur la base d’un dossier établi par un Maître d’œuvre, après signature d’un contrat (ou marché), de définir précisément les systèmes constructifs adaptés à l’opération de construction mais aussi les moyens matériels associés.
Les responsables chargés de l'exécution des travaux doivent disposer d'un tableau de bord d'organisation du chantier en ce qui concerne les matériaux et le matériel.

Ces ressources sont essentielles à la production du chantier, quel que soit le corps d'état.
Il faut donc planifier pour différentes raisons :
 
   - Respecter l'organisation générale du chantier (PIC = circulation, zones de stockage,...).
Le cadre est ici quelque peu restrictif car hors construction métallique (et bois) d'une part et réservé plutôt à des ouvrages où les structures sont courantes (béton armé, bbm/parpaings, briques, ...) = logement en nombre d'étages limité, bureaux pouvant +/- s'apparenter à des logements sur un plan structurel.

Cela n'exclut néanmoins pas une ossature "poteaux/poutres" en superstructure.
Ouvrage de circulation verticale comprenant une succession de marches de même hauteur pour monter (ou descendre) d'un plancher (ou palier) à un autre.

Les conceptions (d'ordre "architectural" ) sont variées : droit, à quartier tournant,...

Un escalier est dit portant de plancher à plancher lorsque ses volées ne prennent appui que sur leurs extrémités, ce qui est souvent le cas d'un escalier en béton armé.

Les marches peuvent être rayonnantes, droits ou balancées (dans les parties tournantes).
L'application de revêtement se fait sur un support peu déformable, par exemple une chape flottante en béton (armé).
Un enduit de lissage peut s'avérer nécessaire avant la pose.
Le support ne doit pas être humide.

Différentes catégories de revêtements existent :
    - Sols durs : grés-cérame par exemple (carrelage)
    - Parquets
    - Moquettes
    - Plastiques minces : cas du "linoléum"
    - Sols coulés = à bas de résine
Nous allons ici nous attacher à définir quelques principes de base afin de vous permettre d'éviter des erreurs "fondamentales".

Pourquoi établir des diapositives (par le biais d'un pwpt ou équivalent) ? (liste non exhaustive).

  - Pour transmettre des idées
  - Faire ressortir les résultats essentiels
  - Support pour celui qui mène la réunion (cela n'empêche tout de même pas quelques fiches supports établies manuellement).
VEC : Vitrage Extérieur Collé
VEA : Vitrage (ou verre) extérieur agraphé

Il existe aussi le VEP : Vitrage Extérieur Pareclosé ((+/-) équivalent du VEC).
 
Ils rentrent dans la catégorie des cloisons extérieures, comme un panneau de façade. Ils n'ont aucun rôle sur un plan structurel.

Rôles essentiels : résistance à la pression dûe au vent, étanchéité à la pluie, isolation thermique et phonique, protection de toute nature ("agressions" accidentelles, humaines et climatiques).
Définition : toute paroi verticale séparative de volumes et non porteuse.

Caractéristiques : épaisseur, constituants, isolation acoustique, opacité ou non.

Classification :
   1) pleines ou en maçonnerie (exemples : en éléments préfabriqués à enduire - briques ou bbm/parpaings - en carreaux de plâtre).

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